Résumé de l'éditeur
L’actualité la plus récente a donné à voir une fracture au sein de la
gauche et des forces d’émancipation : on parle d’un côté des « no border »,
accusés d’angélisme face à la « pression migratoire », et d’un autre côté
il y a les « souverainistes », attachés aux frontières et partisans d’une «
gestion humaine des flux migratoires ». Ce débat se résume bien souvent à
des principes humanistes d’une part (avec pour argument qu’il n’y a pas de
crise migratoire mais une crise de l’accueil des migrants) opposés à un
principe de « réalité » (qui se prévaut d’une légitimité soi-disant «
populaire », selon laquelle l’accueil ne peut que détériorer le niveau de
vie, les salaires, les lieux de vie des habitants du pays).
Avis de lecture
Il n’y a pas encore d’Avis de lecture.