Résumé de l'éditeur
Le narrateur s’acharne, dans un combat avec lui-même sans merci, à apprendre la musique, sur un «piano»: un clavier dessiné sur un morceau de carton. Ce monologue n’est pas sans rappeler certains textes de Beckett (par ex. : Molloy) Cette musique à la fois nécessaire, à la fois si douloureuse à apprendre, c’est à la fois la vie, la relation à l’autre, la relation à soi. le besoin de communication d’amour. Édith Azam nous offre une écriture de l’extrême sensible, pleine de sa dimension physique et orale, qui travaille sur la répétition et la boucle, jouant sur les dérapages sémantiques pour mieux cerner son sujet. Se débarrassant des contraintes formelles de l’écriture, elle révèle un état primordial, une langue…
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